samedi 9 juin 2007

10.06.2007

A gauche ou à droite ?
En tous cas, le mistral vient du Nord-Ouest.


Raphaêl,
Gueule de poëte, causeur impénitent




Déjà vue ?
La même bidouillée, mais néanmoins formidable !



Luberon
Je ne compte plus les virées professionnelles
ou par plaisir, autour de ce pays.
Içi, Bonnieux, où vit Denis Brihat...
à connaître absolument !



Réponse à la devinette
Ah...mais c'est bien sùr, l'ambiance Rock Garage
de l'anniversaire de Serge Assier
Photographe, un soir de Juillet,en Arles 2006.
Conseil : ne jamais jeter les amorces (argentiques).

09.06.2007

COPYRIGHT ou Surréalisme pas mort
Chers surfeurs, vous êtes prévenus, toute reproductions,
diffusions, exploitations des textes et des images
de ce blog sont interdites...sauf accord écrit entre moi,
le photographe et vous, les heureux amateurs
ou collectionneurs de vraies photographies
tirées et signées par l'auteur.

Ici, chère Nathalie Rouvière*, déclamant
et signant son livre lors d'une résidence
chez "Chambre de séjour avec vue",
Saignon. (*poête, écrivain, ...artiste)

vendredi 1 juin 2007

01.06.2007

Etre-ange

Bizarre subjectivité d'une réalité qui ne peut être.




50 % de ma vie

Comment taire. La même ...en vraie !




Venelles

Pittoresque village provençal sous le riant soleil du Midi
(...?)




Etre deux, c'est mieux

30 ans, cote à cote, on a du pot d'être tombé pile-poil.




Clair-obscur

Dehors, la lumière, l'air, les gens, ...la vie.




Plan-film sur façade

Etude documentaire sur l'hôpital de la Timone,
Marseille, en 13x18cm.
Non, ce n'est pas le numéro d'étage ou de la chambre...
mais le format de l'original photographique.
Fait en 1979. Quoique l'important, c'est le fond," Positif "
pas la forme "Négatif". CQFD, réciproquement.



Sur l'eau

Il suffit de le vouloir.



La technique labo

Secret d'alcove partagé ou surbanalisme révélé.





Poor lonesome photographer

Le jeune homme et la mer, et l'amer, et la mère...




Lac de Sainte-Croix

Derrière la promenade, autour de paysages pittoresques,

une légère amertume : mais où sont les gens du pays,

surtout les jeunes ? Volets fermés, chemins interdits,

champs incultes, ...



Arrière-pays 2

Et pour souffler, un week-end, se promener tous les deux,
au hasard des petites routes de Provence.



Jeu de plage

Partir avec une dizaine de romans ou essais,
(je n'aime pas les biographies),
pour se vider la tête
des mesquineries du boulot,
avec des histoires
à dormir debout... Du coup, avec les siestes,

ça fait un double repos estival et littéraire.
Cool, la mer.




Bonjour !

Il suffit de le dire

jeudi 17 mai 2007

17.05.2007

Au bout de la route

Là-bas, devant, après...




Charme

Il y eu "le genoux de Claire", il y a "l'épaule de Joëlle", mon film à moi.



Empreintes

Idées primitives, création contemporaines, jeux d'enfants, apprentissage visuel, démarche conceptuelle...?



Photographie

Qui, Quoi, Quand, Où, Comment,...

dimanche 13 mai 2007

13.05.2007

Exposition

A quoi ça sert, dit-il !



L'expo de Jean-Luc Abraïni

Il y a encore des pêcheurs en pointus (barques marseillaises), Jean-Luc vient de présenter une partie de son travail à la galerie Espace Ecureuil, avant la finalisation par un livre début 2007.
Trop fort...27 ans aprés... c'est le thème de mon diplôme qui revient en force !
Cool.



Série

Du particulier au tout. Bribes éparses. Histoire en désordre. Chapitre à replacer.



François Mitterand

Ce personnage fut très sympathique pour le jeune photographe à l'époque correspondant provençal de l'agence Gamma. D'ailleurs tous ces grands hommes ont toujours été agréables lors de nos rencontres photographiques.



La Barben,le zoo

Mon pére, ce héros...




Oui, genre comme moi t'as un métier, un diplôme que tu as sué, tu vis grâce à ton métier
que tu fais au mieux et y se trouve que ton père, ta belle-mère ou ta tante préconise à tous
et à tous bouts d'champ, l'inverse de c'que tu sais.
Je n'y sais pas si c'est inconscient, mais c'est comme ça.
Dur, dur à supporter
Bon ! C'est sûr qu'on à pas les mêmes caractères, heureusement d'ailleurs, mais de là à ce que quelqu'un fasse toujours ou dise exactement l'inverse de ce qu'il faut, ça fout les glandes !
Ouais, en plus c'est nul ces discussions y'a tellement de problèmes plus importants
dans le monde.
Ouais, même que au bout de cinq minutes, on a versé une larme sur le Sahel, on a égratigné
l'apartheid puis on rembraye sur le maniérisme petit-bourgeois de sa belle-sœur cyclique.

Le 12.6.89.
Sarah est tombée : un trou dans la tête ! Il a fallu coudre un point, et couper une mèche
qui collait avec le sang.

Anaïs : Comment elle a été faite la maman de mémé ?
Benoît: C'est les gaulois qui ont fait la maman de mémé !
Sarah: Non, les singes étaient accroupis, puis ils se sont un peu redressés, puis un peu plus,
puis ils se sont mis debout, puis y a eu le Moyen-Âge, après les gaulois, puis y a eu la maman de la maman de la maman de la maman de mémé. Et puis après, y a eu Joëlle (ah, d'abord
y a eu Marido et après Joëlle).
Et avant les singes, y a eu les rampants et avant les poissons, des micro-organismes.
Le 10.10.89

Passion pour le verbe
Effondré la réputation
Besoin d'un parchemin

Et ce crabe qui me dévore les entrailles !

Démotivé
Oh ! Tu m'respectes, moi !
Laisse tomber, ça retombe.
Ca craint...tu m'respectes, j'te respecte

Pouvoir fuir quelques minutes, la réalité.
Besoin d'un grand vide et planer par-dessus.
Pas de limites. Pas d'affrontement. Pas de cris.
Quelque chose qui vient du dedans, du fond du cœur.
Un moment de paix, solitaire.

Ne croyant ni en dieux, ni en la bonté humaine, ,je me raccroche à mes plaisirs
et quelques moments de bonheur plutôt sensitifs, l'odeur d'une plante, la chaleur d'un rayon
de soleil, le goût d'un chocolat, le toucher d'une peau.

Vous copiez, vous copiez, et un jour vous ratez votre copie et vous faites une œuvre originale.
( PICASSO )

Internet : interview photo/réponses-questions
1) en appréhendant la globalité pour finir vers l'essentiel
2) peut-être que mes lectures répétitives de Giono, mes promenades hebdomadaires autour
du Luberon vers Lure ou Valensole, mes plaisirs cinématographiques ou télévisuels sur les sujets régionaux (…nalistes ?)
3) 2 boîtiers 6*7cm (j'aime pas le carré, je suis plus à l'aise en rectangle) 8 objectifs, 2 dos 120,
1 dos polaroïd, 1 cellule-flasmètre, 1 termocolorimètre, 2 pieds dont 1 carbone (léger…) 1 valise 3 flashes sur pieds avec déclencheur infrarouge (+boite à outils et d'assistance) et les miroirs
3bis) en post-production, pour les mises en pages Mac G4, scan Epson pour inversibles,
colorimétrie et retouches chez Azur Offset, Marseille, le top de la photogravure en Sud-Est.

vendredi 11 mai 2007

11.05.2007

La Durance

Rivière en colère et acte graphique



Déco bureau

Les heures passent, les rêves se suivent.



Le mariage de Sarah

Cet été, j'ai marié ma fille Sarah.C'était une belle journée et sa robe créée par Quiqui Lamothe était splendide...D'ailleurs, j'ai fait beaucoup trop de photgraphies et depuis tous les week-ends, je tire des 18x24N/B dans mon labo. L'histoire était trop belle.


13x18

Etude documentaire à la chambre Linhof, sur mon école quand j'étais petit.



Pour se laver les yeux

Pourquoi une image simple d'un objet anodin ,peut entrainer un enchainement d'idées et un développement intellectuel, voire littéraire ?



1) Définir un lexique pour logiciel littérature.
2) Engranger à chaque définition-clefs, des phrases, paragraphes...employés par les divers
lauréats de prix littéraires des 10 dernières années.
3) Définir des scénarios-types, grâce à la recherche informatique (comparaisons et statistiques).
4) Fermer les yeux et mettre un doigt sur la page (faits divers) d'un quotidien:
Le thème est ainsi défini.
5) Appuyer sur envoi et aller boire un café, le "micro-ordi" fera le reste.
6) Question: êtes-vous sûr de vouloir faire un best-seller?
Oui? Ah bon! Ben alors, conformez-vous aux ordres ci-dessus.


Il lui aura suffit d'un coup d'oeil pour savoir qu'elle ne s'était pas trompée. C'était là.
C'était "CE" lieu. Elle le savait, le sentait. Ca ne pouvait être autrement.
C'était ainsi qu'elle se représentait ce moment, depuis ses confessions...

Le début de cette histoire.Une baffe.
Je regrette. Bien sûr! Je regrette mais je crois que c 'est seulement pour une question
de principes (éducation, culture...). En réalité, j'ai eu raison. Et si c'était à refaire,
je crois que je recommencerai. C'est juste et une baffe ne tue pas.
Dur, de n'y plus penser. Les premiers jours, surtout! Puis avec le temps, ça passe.
Et la conviction, d'avoir raison et de ne pouvoir faire autrement s'implante, puis on oublie.
Puis de temps en temps, quelques coups de spleen.
Un vague malaise, une pensée un peu confuse. (Remords ?)

Introduction en guise de préambule: Histoire de voir.

Photographie.
Constat ou rêve, elle peut chanter l'amour ou l'agonie d'un temps, elle peut cacher ou montrer, elle est nette jusqu'à l'hypocrisie, floue jusqu'à le vérité. Elle est un minuscule fragment du miroir de la société. Elle est passion. Elle est matière à voir et à savoir. Elle est inspiratrice, tantôt acte de reconnaissance, précise et consciente, tantôt rencontre intuitive ou sentimentale.

Un souffle d'air moite et poussiéreux se levait. Le ciel uniformément gris semblait toucher le toit des baraques. Il y avait dans l'air un goût de moisi, comme un relent âcre. Pratiquement
personne dans la ville. Même les animaux semblaient avoir disparus. Il n'y avait plus que les fils d'électricité et de téléphone qui traversaient les rues, avec des relents d’égout.

Le temps aidant, on s'attache à certaines valeurs, certains principes, non parce qu'on y croit
mais parce que, par rapport aux problèmes subit pendant sa jeunesse, c'est un moindre mal.
Et ça confirme sa propre position, sinon c'est la déprime.

On est bien seul à deux
Pourquoi ? T'as des problèmes avec les autres ?
Non pas trop. Non, c'est normal.
Ah ! C'est oui ou c'est non ?
Non, mais des fois les habitudes, la famille, les amis, c'est pesant.
Bah toutes façons, si y a deux personnes qui restent sur terre, au bout d'un quart d'heure,
y'en a un qui voudra chercher des poux à l'autre.
Ouais ! C'est résumer extrême, mais c'est un peu ça
C'est pour ça qu'il y aura toujours des guerres.
Oh ! Les guerres c'est aussi économique
Bien sur, c'est aussi humain, quelle connerie.

samedi 5 mai 2007

05.05.2007

Anaïs, un visage d'ange

Courageuse petite(par la taille)maquilleuse qui court d'un photographe de mode à un cinéaste de pub,en passant par des appuis esthétiques de ventes promotionnelles... Charisme et volonté.




Un de Baumugnes ?

Sur les traces de l'illustre écrivain Jean Giono. Hors cliché ou folklore, une lumière minérale.






Au bout de la route

Juin 1979, direction Venise



Benoît

Toujours heureux, un état mental dés la naissance.



Ma moto, émoi

à 14 ans, j'en révais...



Une phrase par jour. Le roman d'une vie?

L'enfer des samedis ( froids, pluvieux, mal de tête, courses, leçons des enfants,
réparations et bricolages )

Elle était belle et le savait point dehors virgule les rayons du soleil éclaboussait virgule
d'une ardente chaleur virgule...

Toutes questions se prêtent aux papotages mondains, aussi bien qu'aux essais philosophiques.

“On ne se marie pas pour créer un bonheur, la seule véritable raison est, qu'à un moment,
on est incapable de vivre l'un sans l'autre, donc on décide de vivre ensemble.
D'ailleurs les moments réels de plein bonheur sont peu nombreux,
car la vie commune est bien plus difficile que la vie solitaire.
Il est impératif d'essayer au maximum de renoncer à tout le reste et d'assumer tous risques
de déception par avance.
On vit ensemble pour avoir un compagnon qui confirme le droit d'être comme on est
et d'en être fier.
Accepter son sort, en prendre son parti, le connaître et le prendre avec ses avantages
et ses inconvénients.( D'après Miléna Jésenka ? ) “

Parce que je sens que je peux arriver à exprimer ce que je ressens et ce que j'aime, dans cette vie que m'a fourni le destin, alors j'essaie, malgré mes carences intellectuelles et culturelles,
de transcrire en mots et images, des impressions, des sensations, que je crois vraies !

L'éducation facilite, peut-être, l'apprentissage de diverses notions. C’est difficile à faire
comprendre à un jeune enfant, mais finalement, je crois qu'il est bien d'apporter
un maximum d'informations (et non pas d'affirmations) à ce demandeur difficilement rassasié.
J'entends jeune jusqu'à 20 -25 ans.
Et le seul problème est dans la façon, d'apporter ses informations en partage .
Tous les maîtres, les professeurs ne devaient faire ressentir alors, que leur personnalité,
que leur plaisir, leur amour, leurs besoins de communiquer, de partager ces informations,
pour inciter à en demander encore plus.
Malheureusement, je ne me rappelle pas avoir connu ce genre de personnalités parmi
les "éducateurs" dont j'ai croisé le chemin, sauf aux Beaux-Arts,quelques un.
Ensuite, le temps passe, le chemin se trace et on prend plus ou moins bien son parti
de l'aspect que prend notre vie.
( envoi d'une invitation, à une exposition, vers tous les profs, instits...qui ont jalonné
mon "éducation" scolaire..? )

Vendredi 13 février 19h
D'un point de vue météorologique, une journée superbe, ciel entièrement dégagé, bleu roi, quelques nuages blancs de passage, très hauts, une température en hausse
et vers midi carrément bonne.
Etat d'esprit neutre, tension calme, ventre dans l'oubli,
je ne me rappelle pas avoir eu d'idées intéressantes, ni que ce soit à noter.
Il doit y avoir une erreur quelque part ?

" D'abord, on fait ce qu'on peut...avec c'qu'on a....et ça va! "


mardi 1 mai 2007

01.05.2007

Amorce 1

Début de l'histoire, sans préméditation,plan zéro avant réflexion,...et pas plus mal qu'une idée conçue,...à suivre.



Voyager dans sa tête.

Combien de gens rêvent de partir et se contentent d’apercevoir des images touristiques collées dans leur cave, garage, toilettes, voire bureau ?
Et sont satisfaits de regarder des émissions T.V. documentaires ?
C'est l'identification à un héros mental qui prime!
Alors il y en a dix qui partent et 50 millions qui rêvent !

Et moi, je me pose la question: pourquoi je rêve? Peut-être suis-je prêt à partir,
...dans les dix?


Qu'apporter aux autres alors que les rencontres avec H.C.B ou J.P Sudre, Denis Brihat,
ne serait-ce que 15 mn par ici , 30 mn par là, sont inoubliables et donnent un but.

Heureux pour la vie. Quelque chose où se raccroche des problèmes.
Capter une réalité qui n'est pas perceptible par tous.

J'ai perdu...un peu...d'enthousiasme, d'ambition, de dynamisme...et beaucoup de temps.
Bref, un été pourri. Août 1995, venelles.

Tu as vu l'aile américaine invisible?
Bin! si elle est invisible.
Non, mais au radar, indétectable quoi.
Et alors?
Bon! elle pourra traverser le désert sans être vu par les radars irakien,sur l'écran
elle fait pas plus de signal qu'une mouette
Moi, une mouette seule dans le désert, j'me méfierais. BENOIT ET SARAH.1994?

Pourquoi du texte (en face, en plus, avec, pour, contre, en regard, en exergue, en rappel,
en animation, en corrélation, en feed-back, en plaidoyer, sans rapport, en explication),
en opposition"des photos"?
C'est pour Marilyn M. qui aime les beaux gris.

Et dans la rue une très jolie fille se retourne, me sourit et aussitôt, en courant,
vient vers moi.
Le sourire encore plus radieux, elle ouvre ses bras, et embrasse un jeune homme,
derrière moi...
Déception...

J'ai construit des murailles pour me protéger et j'ai oublié de m'enfermer à l'intérieur.

Noces heure ( Mariée, déflorée, divorcée... en 1 heure )... ( étudier scénario probable )

Une si belle croupe, pensais-je, les yeux mentalement écarquillés.

Je n'ai été au catéchisme qu'une heure et demie, j'ai été viré pour questions indiscrètes
et déplacées, et ce, du haut de mes huit ans.
Déjà trop curieux, avec l’art de poser les questions qui fâchent.

Ils ont tué le père: Acompte d'auteur. Chanson à t'aime.

hait ta mère, et tasseur }
et amer, hait ta soeur } Histoires d'Oedipe et de dupes
état-mère, état-soeur }

 
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